Climat : les risques physiques restent le parent pauvre du reporting des acteurs financiers

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Climat : les risques physiques restent le parent pauvre du reporting des acteurs financiers

 Article réservé aux abonnés | Par  Arnaud Dumas | Publié le 03/01/2023

Les événements climatiques coûtent de plus en plus cher à l’économie. Les institutions financières peinent pourtant encore à évaluer l’impact des risques physiques sur leur activité et celles de leurs clients, voire à simplement l’évoquer. L’Unep Fi dévoile dans un rapport que moins de la moitié des acteurs financiers passés en revue ont analysé leur exposition aux risques physiques dans leurs rapports climatiques et propose une feuille de route pour l’intégrer.

Blizzard du siècle aux États-Unis, sécheresse historique en Europe, inondations, feux de forêts… Les événements climatiques extrêmes s’enchaînent et font peser un risque de plus en plus prégnant sur les actifs financiers. Les banques et les sociétés de gestion ne semblent pourtant pas encore avoir pris en compte l’ampleur des risques physiques liés au changement climatique qui pèsent sur leurs portefeuilles et sur l’activité de leurs clients.

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