@CCO
L'ACTU
Climat : les risques physiques restent le parent pauvre du reporting des acteurs financiers
Article réservé aux abonnés
|
Blizzard du siècle aux États-Unis, sécheresse historique en Europe, inondations, feux de forêts… Les événements climatiques extrêmes s’enchaînent et font peser un risque de plus en plus prégnant sur les actifs financiers. Les banques et les sociétés de gestion ne semblent pourtant pas encore avoir pris en compte l’ampleur des risques physiques liés au changement climatique qui pèsent sur leurs portefeuilles et sur l’activité de leurs clients.
ARTICLES ASSOCIÉS
CSRD : La Commission européenne publie un projet de standards techniques a minima
Les carburants alternatifs au cœur du pari technologique pour l’aviation net-zéro

Avec Valéry Lucas-Leclin disparaît un chercheur précieux pour la finance durable
Casino, Orpea… ces géants qui trébuchent sur le risque de gouvernance

Les gestionnaires d’actifs en Asie restent à la traîne dans la prise en compte des risques ESG

Décryptage du marché du CO2 : le vrai du faux sur les quotas gratuits
