L’alliance Gfanz pourrait devoir exclure des signataires peu disposés à la neutralité carbone

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L'ACTU

L’alliance Gfanz pourrait devoir exclure des signataires peu disposés à la neutralité carbone

 Article réservé aux abonnés | Par  Arnaud Dumas | Publié le 14/09/2022

La Glasgow financial alliance for net zero est partie sur les chapeaux de roue lors de la COP26. Quelques mois plus tard, les engagements affichés par certains membres de ces alliances "net zero" paraissent toutefois trop pâles et certains pourraient se voir exclure de l’initiative. La campagne Race to Zero, dont la Gfanz est partenaire, a décidé de renforcer ses critères et devrait créer une instance d’évaluation de ses membres. Les engagements de façade pourraient alors s’écrouler…

À Glasgow, Mark Carney avait sorti les gros chiffres : plus de 450 établissements financiers de plus de 45 pays, représentant plus de 130 000 milliards de dollars de capitaux, s’étaient engagés à transformer l’économie pour atteindre la neutralité carbone au sein des initiatives de la Glasgow financial alliance for net zero (Gfanz). Des chiffres rapidement critiqués pour l’effet d’affichage assez peu représentatif de la réalité de la finance… Quelques mois plus tard, la Gfanz pourrait être amenée à revoir ses chiffres à la baisse, en excluant des membres aux engagements trop timorés.

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