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"Il est difficile aujourd’hui d’élaborer un label ISR dans lequel on ne serait pas sûr du traitement du climat", Michèle Pappalardo, présidente du comité du label ISR
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Vous publiez la proposition de refonte du label ISR. Comment la caractérisez-vous ?
Nous nous dirigeons vers la troisième version du label ISR, qui sera une révision plus en profondeur que celle de 2020. L’idée consiste à repenser le label dans le contexte actuel, dans lequel la finance durable connaît une forte évolution. C’est donc une révision plus fondamentale. Nous réfléchissons au sujet dans son ensemble, tout en voulant maintenir la nature du label : un label ESG et non climatique, fondé sur la méthode "best-in-class".
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