"Les investisseurs institutionnels, c’est un eldorado pour les projets verts", estime Yannick Glemarec du Fonds vert

Yannick Glemarec, directeur exécutif du Fonds vert pour le climat , @GCF

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"Les investisseurs institutionnels, c’est un eldorado pour les projets verts", estime Yannick Glemarec du Fonds vert

 Article réservé aux abonnés | Par  Novethic, Arnaud DUMAS | Publié le 28/10/2019

Le Green Climate Fund (le fonds vert) vient de boucler une recapitalisation à près de 10 milliards de dollars. Une victoire pour Yannick Glemarec, son directeur exécutif, qui a déjà de nouveaux projets. Il voudrait développer des outils pour inciter les investisseurs institutionnels à cofinancer les projets dans les pays émergents.

C’est reparti pour quatre ans ! Le Fonds vert pour le climat (Green climate fund) vient de boucler sa recapitalisation auprès de 27 pays développés. Il dispose de près de 10 milliards de dollars pour financer, jusqu’en 2023, des projets d’adaptation ou d’atténuation du changement climatique dans des pays émergents. Et il prévoit pour cela de continuer à affiner ses outils. Dans l’interview donnée à l’Essentiel de la Finance Durable, Yannick Glemarec, le directeur exécutif du Fonds vert, confie qu’il veut diversifier ses partenaires financiers. Aujourd’hui principalement des agences publiques ou des banques commerciales, le Fonds vert aimerait à terme attirer les poches profondes des investisseurs institutionnels.

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